Edité chez : Folio
Résumé : Un certain 21 juin eut lieu en Angleterre la révolte des animaux. Les cochons dirigent le nouveau régime. Boule de neige et Napoléon, cochons en chef, affichent un règlement : " Tout ce qui est sur deux jambes est un ennemi. Tout ce qui est sur quatre jambes ou possède des ailes est un ami. Aucun animal ne portera de vêtements. Aucun animal ne dormira dans un lit. Aucun animal ne boira d'alcool. Aucun animal ne tuera un autre animal. Tous les animaux son égaux. "Le temps passe. La pluie efface les commandements. L'âne, un cynique, arrive encore à déchiffrer : " Tous les animaux sont égaux, mais (il semble que cela ait été rajouté) il y en a qui le sont plus que d'autres. "
Avis :
Commencé le 7/01 Terminé le 9/01
Je
devais lire ce livre pour l'école et pour une fois, je n'ai pas trouvé
ce livre nul de chez nul (je me base sur ma lecture précédente qui fut
"La Promesse de l'aube" de Romain Gary)
La ferme des animaux décrit habilement la révolution russe mais à la place de grands noms comme Lénine, Staline et Trotski, George Orwell les tournent en dérision en transférant ces personnalités dans de vulgaires animaux que sont les cochons. C'est une manière d'aborder ce sujet épineux d'une manière plus légère. Et la fin fait réfléchir (je ne dirais rien pour ne pas spoiler).
Par contre, j'ai trouvé la narration un peu lourde (comme la plupart des classiques après tout), ces 110 pages me donnaient l'impression d'en lire 400.
En résumé, malgré le fait que ce livre soit un classique étudié en cours, La ferme des animaux reste tout de même distrayant. Je ne l'aurais pas lu par plaisir maintenant mais peut-être que je l'aurais fait plus tard.
La ferme des animaux décrit habilement la révolution russe mais à la place de grands noms comme Lénine, Staline et Trotski, George Orwell les tournent en dérision en transférant ces personnalités dans de vulgaires animaux que sont les cochons. C'est une manière d'aborder ce sujet épineux d'une manière plus légère. Et la fin fait réfléchir (je ne dirais rien pour ne pas spoiler).
Par contre, j'ai trouvé la narration un peu lourde (comme la plupart des classiques après tout), ces 110 pages me donnaient l'impression d'en lire 400.
En résumé, malgré le fait que ce livre soit un classique étudié en cours, La ferme des animaux reste tout de même distrayant. Je ne l'aurais pas lu par plaisir maintenant mais peut-être que je l'aurais fait plus tard.
Note : 3/5
(j'ai gardé la note d'origine car maintenant que je refais cet article, après des semaines à étudier chaque ligne de ce livre. Il me sort littéralement par les trous de nez).
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