vendredi 22 mars 2013

Livre numéro 20 : Six jours pour (sur)vivre. Philip Webb.

Auteur : Philip Webb
Edité chez : La martinière Jeunesse
Résumé :
Dans un Londres post-apocalyptique, quatre adolescents partent en quête d'une mystérieuse relique très puissante, sur laquelle repose l'avenir de l'humanité. Ils ont six jours pour combattre les forces du mal...











Avis :

 

Six jours pour (sur)vivre m'avait l'air vraiment pas mal. Le résumé était sympa et m'intriguait. Malheureusement, ça a été une énorme déception. 
J'ai trouvé l'histoire sans intérêts, molle, les personnages sont très plats pour moi. 
L'histoire suit quatre adolescents : Cass, son petit frère Willbur, Peyto et Erin. Cass et Willbur ont toujours vécus dans les décombres de Londres après une guerre qui a ravagé la planète, ils sont, comme la majorité des habitants, des Excaveurs. Ceux qui détruisent les vestiges d'avant la guerre afin de trouver "l'artefact", un objet précieux qui n'a jamais été vu par quiconque. Les recherches sont vaines depuis bien des années, le grand-père de Cass et Willbur ne l'a jamais vu en cinquante ans d'Excave. 
Sur leur route, ils croiseront Peyto et Erin, frère et sœur qui viennent d'on-ne-sait-où. L'artefact que cherche les Excaveurs est en réalité un "farfaleur", un médaillon qui appartient à des personnes bien spéciales vivants dans un vaisseau spatial, cryogénisés. Ils doivent retrouver le farfaleur pour réparer leur vaisseau qui est fait de tissus humains.

Voilà ce que j'ai compris. Si vous n'avez pas suivi jusque là, vous serez perdu dans cette histoire de science-fiction que j'ai trouvée impossible à comprendre. J'étais largué 80% du temps et je ne faisais que lire des mots sans en chercher le sens. 

Outre l'histoire, les personnages ont été vraiment très ennuyeux pour moi. Cass est une pâle copie de Katniss Everdeen, qui soit-disant ne sait pas lire et passe sa journée à faire un travail de péquenots, mais qui a un vocabulaire très approfondi et de superbes tournures de phrases. Par rapport à Saba, ange de la mort, la crédibilité est vraiment inexistante.
Les autres personnages aussi étaient dans ce genre. On se demande vraiment à quoi sert Erin, c'est la nana qui n'est jamais d'accord et qui passe son temps à exprimer son opposition sans rien apporter à l'histoire.
La pseudo romance entre Peyto et Cass m'a laissé de marbre et je trouvais le temps long.

En résumé : Six jours pour (sur)vivre m'a convaincu que les sf qui se passent dans l'espace ne sont pas pour moi. J'ai trouvé l'ensemble très plat et ennuyeux.       

 

Note : 1/5


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